PREMIER SCENARIO

Voyant Ed' arriver en trombe, je m'ecarte du passage.

La porte faisant l'objet de toutes les attentions, je reviens vers la fenetre pour la depasser et m'arreter au niveau de l'angle, de maniere a surveiller du regard deux faces de l'habitation.

Je m'assure alors que la nouvelle face est vierge de toutes fenetres, portes, acces avant de revenir vers la fenetre.

De retour a cette derniere, je fracture un carreau du bas pour surveiller l'interieur la piece et la porte d'entree, pret a intervenir si j'entends le moindre cri ou si je constate qu'Ed' n'arrive pas rapidement dans la piece.

Voyant Ed s'apprêter à pénétrer dans la cabane, je me dirige vers lui dans la ferme intention de lui emboiter le pas, curieux de voir si un hôte nous attend à l'intérieur (et puis aussi pressé de me mettre à l'abris!)

Maintenant que je suis au pied de cette "cabane", je me rend compte qu'elle est d'une belle taille, en fin de compte. Elle mériterait peut-être plus l'appellation de "chalet"... J'ai une pensée pour Tom, qui, lui, saurait exactement comment nommer ce chalet, et mon regard se dirige vers lui. Qu'est-ce qu'il fait, d'ailleurs?? Le voilà prêt à bondir par la fenêtre!

Je m'élance, ne donnant qu'un rapide regard d'encouragement à Deb au passage.

J'ouvre cette porte, rapidement, entre dans la pièce en plongeant ma main dans mon sac. Encore une fois, si la porte ne s'ouvre pas, je force.

— QUELQU'UN ? crié-je en déboulant dans la pièce. Y A QUELQU'UN ICI ?

Je ne prends qu'un instant pour vérifier s'il se trouve quelqu'un ou pas dans la pièce, puis je me dirige le plus rapidement possible vers la silhouette allongée que j'ai aperçue par la fenêtre.

Gollum:

Apprenant qu'il y a quelqu'un qui nécessite sans doute une aide médicale, je suis Ed' jusqu'à ce dernier à pas vif. Je suis à la fois ravie de pouvoir enfin rentrer à l'abris et à la fois un peu gênée par cette situation rocambolesque. Une fois arrivée à hauteur du corps, je me penche pour prendre son pouls et vérifier rapidement ses constantes vitales.

Des que je vois apparaître Ed' dans la salle de bain (si c'est dans un délai court, sinon je rentre par la fenêtre comme indiqué précédemment) je quitte mon poste après avoir jeté un dernier coup d'œil scrutateur à la forêt situé de ce coté de la maison.

Me dirigeant vers la porte, je la franchis et je commence a explorer le rez-de-chaussée à la recherche d'une pièce ou allumer une source de chaleur.

Ma main droite reste constamment au niveau du cœur.

Tout au long de mon exploration, je reste silencieux, attentif au moindre bruit qui pourrait trahir une autre présence que celle de mes amis, en particulier au niveau d'un escalier montant ou descendant.

Thomas se déplace vers le coin du bungalow puis revient vers la fenêtre de la "salle de bain", et accentue son ouverture afin de mieux surveiller ce qui se passe à l'intérieur...

@Ysarius:

Edward tourne la poignée de la porte... Qui s'ouvre sans la moindre difficulté (elle n'était même pas verrouillée)... Il entre alors dans la pièce principale en criant :

— QUELQU'UN . Y A QUELQU'UN ICI ?

Mais personne ne lui répond...



Petit jet de dés du meneur de jeu derrière le paravent...

Edward se dirige alors vers la salle de douche...

Deborah se précipite derrière lui et Carl leur emboîte le pas, se retrouvant dans la salle principale lui aussi.

Thomas voit alors Edward entrer dans la salle de bain puis, jetant un dernier coup d’œil à la forêt...

@Ysarius:

... Rentre à son tour dans le bungalow, la main sur le cœur, attentif au moindre signe de danger.

Edward et Deborah se précipitent alors sur la cabine de douche et finissent d'en ouvrir la porte coulissante qui était entrouverte...

@Poisseman et @Edgar:

@Ysarius:

Le bungalow me semblant a priori non chauffe, je continue ma recherche : cheminee ou toutes autres sources de chaleur que je pourrais allumer.

Ma recherche etant methodique, je recherche une source de chaleur puis le moyen de l'allumer (bois, papier et allumette pour une cheminee, interrupteur et disjoncteur ou generateur electrique si radiateur. Dans ce dernier cas, je serais pret a ressortir en empruntant le chemin le plus direct vers les zones inexplorées, ne me souvenant a priori de rien de ce type, dehors, a l'avant du bungalow)

Ayant vu Deb', Carl' (?) et Ed' rentrer dans la salle de bain, je me risque, malgre ce silence oppressant qui m'inciterait au contraire, a souffler un :

Alors ?

discret mais le plus audible possible (combinaison des plus difficile).

Dans l'attente d'un retour de leur part, je ne peux m'empecher de glisser regulierement un regard dans leur direction, pret a interrompre ma recherche a tout moment.

Voyant la scène devant mes yeux, je sors mon téléphone portable, pour voir si j'ai du réseau, si je n'en ai pas je me met à la recherche d'un téléphone dans le bungalo en tentant de ne rien toucher.

"Ne touchez à rien les amis, nous sommes sur une scène de crime"

Dis je à voix haute aux deux qui ne sont pas habitués à ce genre d'usage.

Me figeant sur place aux premiers mots de Deb', je reprends ma recherche, cette fois pour trouver un moyen de joindre l'extérieur.

Je commence l'exploration des pièces inexplorées, la main droite toujours près de mon cœur.

Passant surement à coté de Deb', Ed' ou Carl, je m'enquiers auprès d'eux, par le regard, de toutes informations qu'ils voudront bien me donner.

Gollum et Deborah:

Je retourne sur mes pas, laissant Deb et son téléphone et juchant mon sac sur mon dos. Dans ma main droite se trouve un flingue.

— Putain, les gars, c'est la merde. Faut trouver du réseau et vite. Sinon, on se fait un sprint illico jusqu'à la bagnole. Y a un corps, la-dedans, et pas beau à voir ! En attendant, touchez à rien.

Sur ce, je questionne Deb du regard. "Alors, le réseau ?" demande mes yeux. Puis j'ouvre à la hâte la porte de la pièce voisine de la douche, arme en main et esprit en alerte. Je regarde vite si personne ne se trouve planqué, puis m'apprète à faire la même chose avec la dernière pièce non visitée.

Planté au milieu de la pièce, j'essaye de digérer les dernières infos qui me sont parvenues.
Scène de crime….corps...agresseur…
J'ai l'impression d'être dans la peau d'un figurant qui se retrouverait tout d'un coup avec tous les projecteurs braqués sur lui.
Mal à l'aise, je fais la première chose qui me vient à l'esprit pour assurer notre sécurité: je referme la porte d'entrée, et, si un mécanisme existe, je la verrouille.

Vous êtes sûr qu'il est mort? D'ailleurs, c'est un homme ou une femme?

Mon regard parcourt la pièce principale, cherchant à déterminer s'il y a eu du grabuge avant qu'on arrive.

Thomas commence à fouiller la pièce, à la recherche d'une quelconque source de chaleur. Il n'y a malheureusement ni radiateur, ni cheminée, ni quoi que ce soit d'autre de ce genre.

C'est alors que Déborah s'écrie : "Ne touchez à rien les amis, nous sommes sur une scène de crime"

Ses mots résonnent un instant dans vos esprits, glaçants.

Puis Edward et Deborah échangent quelques mots que les autres n'entendent pas.

@Edgar et Poisseman:

Carl se précipite alors pour refermer la porte d'entrée, ce qu'il n'a aucune difficulté à faire. Il y a un verrou dans lequel est enfoncé la clé.

"Vous êtes sûr qu'il est mort? D'ailleurs, c'est un homme ou une femme?", demande-t-il, tout en scrutant la pièce.

@Karloff:

Deborah sort son téléphone portable...

@Deborah:

Edward retourne dans la pièce principale : "Putain, les gars, c'est la merde. Faut trouver du réseau et vite. Sinon, on se fait un sprint illico jusqu'à la bagnole. Y a un corps, là-dedans, et pas beau à voir ! En attendant, touchez à rien."

"Ed', Deb' c'est un crime ?", questionne Thomas. "Un suicide ? Une attaque de l'ours ? Une attaque par une arme ? Quelle arme ? La mort est récente ? Si oui, et si c'est un crime, peut on craindre que l'agresseur soit encore dans le coin ? Pour le réseau c'est surement comme tout a l'heure : mort... Et si vous confirmez le corps, c'est clair que moi, je ressors pas d'ici avant l'aube, vu la pluie, la nuit, l'ours. Autant fermer tous les accès et trouver le moyen de se réchauffer."

Sans même répondre, Edward jette un regard interrogateur à Deborah puis ouvre la porte voisine de la salle de bain...

Vous entrevoyez alors une chambre à coucher qui semble vide... Le lit est défait et des vêtements sont posés en vrac sur un de ses coins...



Que faites-vous ? Que dites-vous ? Et, Ysarius, si Thomas explore bien les pièces restantes, par quelle porte commence-t-il ? Celle qui mène vers la grande pièce en haut du plan ou celle qui conduit à la petite, à gauche ?

P.S. : Le meneur de jeu effectue un nouveau jet de dé derrière le paravent...

Je fais 2 pas vers la table près de la fenêtre, et je regarde de plus près ce qui se trouve dessus, quitte à y manipuler délicatement avec le bout des doigts.

Après un rapide coup d’œil sur la gauche — sur le côté droit du lit, donc —, arme toujours pointé où je pose mon regard — vers un hypothétique assaillant —, je longe le mur jusqu'à la fenêtre et continue mon inspection sur la droite du plumard. En bas, en haut, je scrute partout, cherchant un animal, un insecte, n'importe quoi.

Je vérifie aussi que la fenêtre est bien fermée, sans y toucher, préservant d'éventuelles empreintes.

— Faites gaffe, les gars ! dis-je nerveusement, presque en criant, tout en effectuant mon tour, tendu à l’extrême. C'EST... ON... MERDE ! On sait pas ce que c'est ! On sait pas à quoi on a à faire, alors restez où vous êtes et bougez pas !

Un regard vers l'extérieur, par la fenêtre, puis je me penche pour regarder sous le lit, avec une grande, très grande vigilance, arme devant, prêt à tirer.

"C'est un crime à ne pas douter. Tant que les autorités ne m'auront pas donné l'autorisation de procéder à l'examen du corps, je ne pourrais pas faire un diagnostique précis de la cause de la mort. Mais à vu d'oeil, la mort remonte à quelques heures"

Dis je un peu surprise de ne pas voir d'outil de communication ni de chauffage dans le bengalow.

"En défonçant la porte et en entrant sur les lieux, nous avons déjà plus ou moins contaminé la scène de crime. Dans l'idéal il faudrait que nous sortions, mais je n'en ai aucune envie au vue du torrent de pluie qui tombe dehors"

Me prenant au jeu de l'enquete et en omettant toutes considerations d'ordre legales :

Deb' tu n'as pas dit si la mort etait causee par une arme et par un etre humain donc si la cause est liee a l'ours et quelle est recente, il vaudrait mieux qu'on soit fixé pour mieux nous proteger, surtout si on doit rester ici cette nuit.

La fenetre etait entr'ouverte. Et la porte par laquelle je suis passé ne semble pas avoir ete defoncée. Ed', tu confirmes ? Vous avez besoin de l'aval des authorités pour nous mettre hors de danger si il y a un criminel pres de nous ?

Thomas s’apprête à ouvrir la porte d’une nouvelle pièce, tandis que Carl se rapproche de la table pour observer ce qui s’y trouve.

@Karloff:

Pendant ce temps, Edward inspecte attentivement chaque recoin de la chambre dans laquelle il se trouve, son arme à la main…

@Edgar:

– Faites gaffe, les gars ! dit-il nerveusement. C'EST... ON... MERDE ! On sait pas ce que c'est ! On sait pas à quoi on a à faire, alors restez où vous êtes et bougez pas !
– Ed' et Deb', vous m'avez pas répondu ! demande alors Thomas. C'est un crime ? Un suicide ? Une attaque de l'ours ? Une attaque par une arme ? Quelle arme ? La mort est récente ? Si oui, et si c'est un crime, peut on craindre que l'agresseur soit encore dans le coin ?
– C'est un crime à ne pas douter, répond Deborah. Tant que les autorités ne m'auront pas donné l'autorisation de procéder à l'examen du corps, je ne pourrais pas faire un diagnostique précis de la cause de la mort. Mais à vu d’œil, la mort remonte à quelques heures. En défonçant la porte et en entrant sur les lieux, nous avons déjà plus ou moins contaminé la scène de crime. Dans l'idéal il faudrait que nous sortions, mais je n'en ai aucune envie au vue du torrent de pluie qui tombe dehors.

@Poisseman:

– Deb' tu n'as pas dit si la mort était causée par une arme et par un être humain, reprend Thomas, donc si la cause est liée a l'ours et quelle est récente, il vaudrait mieux qu'on soit fixé pour mieux nous protéger, surtout si on doit rester ici cette nuit. La fenêtré était entr'ouverte. Et la porte par laquelle je suis passé ne semble pas avoir été défoncée. Ed', tu confirmes ? Vous avez besoin de l'aval des autorités pour nous mettre hors de danger si il y a un criminel près de nous ?

Nouveau jet de dés derrière l’écran du meneur de jeu…

Que faites-vous ? Ysarius, est-ce que Thomas ouvre la porte (il s’apprêtait seulement à le faire d’après ton message) ?

En ouvrant la porte, tu découvres une nouvelle chambre, munie de deux lits jumeaux.

@Ysarius:

Que faites-vous ?

Rien dans cette chambre rangée et pas de porte pour accéder a l'extérieur pour activer le générateur électrique !

Je sors de la chambre et je me dirige vers la porte qui n'a pas été encore ouverte. Je l'ouvre, espérant trouver une porte qui me mènera a l'extérieur ou je pense trouver le générateur électrique qui doit bien alimenter ce bungalow.