PREMIER SCENARIO
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Karloff
Edgar Grolles
Poisseman
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Re: PREMIER SCENARIO
Après un rapide regard vers deb, puis vers Tom, je souffle, comme un buffle hors d'haleine.
— Faites donc ce que bon vous semble les gars. vous me saoulez. Vous voulez rester ? Restons. Mais vous ne pourrez pas dire que je ne vous aurais pas prévenu.
Je termine la fouille et rejoins la salle principale.
— Ce qui s'est passé là-dedans, on n'en sait foutre rien. dit Carl. Et c'est pas notre boulot de connaitre le pédigrée de la chose tueuse…. Et même ce serait notre boulot, je vous rappelle qu'on est en vacances!
Enfin une parole sensée ! En toisant Tom, je fais un signe de la main désignant notre ami commun, arborant un sourire entendu.
— Personnellement, j'ai pas envie de passer la nuit avec ce macchabée dans la pièce d'à côté… insiste Tom. Et vous ?
— Je me tue à vous dire que non.
Je répond en le suivant du regard. Puis je m'installe sur une chaise libre, surveillant la réaction de Deb.
— L'orage n'est rien à côté de ce qui c'est passé ici.
— Faites donc ce que bon vous semble les gars. vous me saoulez. Vous voulez rester ? Restons. Mais vous ne pourrez pas dire que je ne vous aurais pas prévenu.
Je termine la fouille et rejoins la salle principale.
— Ce qui s'est passé là-dedans, on n'en sait foutre rien. dit Carl. Et c'est pas notre boulot de connaitre le pédigrée de la chose tueuse…. Et même ce serait notre boulot, je vous rappelle qu'on est en vacances!
Enfin une parole sensée ! En toisant Tom, je fais un signe de la main désignant notre ami commun, arborant un sourire entendu.
— Personnellement, j'ai pas envie de passer la nuit avec ce macchabée dans la pièce d'à côté… insiste Tom. Et vous ?
— Je me tue à vous dire que non.
Je répond en le suivant du regard. Puis je m'installe sur une chaise libre, surveillant la réaction de Deb.
— L'orage n'est rien à côté de ce qui c'est passé ici.
Edgar Grolles- Messages : 84
Date d'inscription : 13/10/2018
Age : 55
Localisation : Chatou
Re: PREMIER SCENARIO
"Bon d'accord j'ai compris, on s'en va"
Dis je en rejoignant les hommes regroupés près de la porte de sortie
Dis je en rejoignant les hommes regroupés près de la porte de sortie
Poisseman- Messages : 165
Date d'inscription : 21/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
– Soit cette chose n'est pas planquée dans la cabane, soit elle est devenue trop grosse pour se planquer sous les meubles, murmure Carl, comme pour lui-même...
Il se tourne alors vers ses compagnons, les implorant du regard de ne pas paniquer et de rester unis.
– Vous allez peut-être me trouver naïf, ajoute-t-il, mais… je pensais à ces spectacles de magie qu'on a tous déjà vu, un mec vole, ou bien se fait transpercer, ou alors fait disparaître une voiture…
Devant l'air surpris de ses amis, il persiste :
– Ben oui, je suis sûr que, comme moi, vous vous êtes un jour surpris à penser : "Merde, je suis pas trop con, et pourtant j'arrive pas à envisager comment il combine son tour, le mec"… Ce que je veux dire par là, c'est que c'est pas parce qu'on ne pige pas le truc qu'il n'y en a pas. Et ici, c'est peut-être pareil, les apparences sont pas très reluisantes, mais peut-être y a-t-il une explication tout à fait rationnelle.
Puis il se tourne vers Deb :
– J'imagine que durant ta carrière, tu a dû en voir des vertes et des pas mûres, et qu'il y a des fois ou tu as été surprise en apprenant le fin-mot des raisons d'un décès, non ? Je veux dire, ce… mec… dans la salle de bain… est peut-être mort d'autre chose que d'un alien...
Il la fixe du regard, implorant un "Oui, tu as raison" du plus profond de son âme...
Thomas, lui ne peux s'empêcher de chercher à voir le cadavre. Edward, agacé, se dresse devant lui, le foudroyant du regard… mais finit par le laisser passer en soupirant.
– Mais ne touche à rien... dit-il d'un ton sec en sortant.
Thomas sort alors son smartphone et commence à mitrailler la scène : le corps, le sol autour, la fenêtre, les murs, le plafond.
– Deb et Ed', dit-il, je suis sur qu'avec votre expertise, vous pouvez déjà reconstituer les circonstances de sa mort ! Avec l'analyse de la position du corps, de ses membres, de la poussières autour, je suis sur que vous pouvez déterminer si il est tombé comme ça... si il s'est recroquevillé à cause de la douleur avant de s'allonger ainsi sur le sol... si il a été placé ici après sa mort… L'horreur qu'il semble exprimer est elle vraiment due à ce qu'il a vu ou est ce plutôt le résultat de la souffrance horrible qu'il a enduré ? D'ailleurs ses yeux sont ils ouverts ? Ses dents serrées, sa bouche et son contenu ne peuvent ils pas nous renseigner sur ce qui a été ingurgité, sur la souffrance endurée ? Les contours de la blessure doivent sûrement vous renseigner sur ce qui en est la cause ! Actions d'un couteau ? de dents ? d'une chose brûlante qui cautérise en même temps ? Le pourtour de la blessure ne vous indiquent pas si il y avait eu un mouvement sortant ou entrant dans le corps ? Des organes ont ils disparu ? C'est vraiment le corps d'un humain ? Si il y n'y a pas de sang ici et que la pièce ne semble pas trop dérangée, n'est ce pas la preuve que la mort elle même s'est déroulée ailleurs et qu'il a été placé ici après coup ? D'ailleurs...et si cette pièce était un garde mangé et que ce corps était comme un avocat dont on aurait commencé a manger le contenu avec une sorte de petite cuillère ?
Après avoir photographié en long, large et travers la scène du crime, Thomas s'en éloigne pour passer en revue l'ensemble des portes et fenêtres qui pourraient donner sur l'extérieur, s'assurant qu'aucune n'a été endommagée… Il constate, et tout le monde aussi, en le regardant faire, que toutes les fenêtres exceptées celle de la salle de bain (à moins que vous ne l’ayez refermée) sont bien closes et qu’aucune d’entre elles n’a été abîmée…
Thomas se dirige alors vers les plaques chauffantes pour vérifier qu'elles sont opérationnelles... C’est bien le cas. Le petit voyant rouge qui sert de témoin s’allume…
Il repart alors en quête de la source d'alimentation du bungalow… Mais, il ne trouve rien d’autre que ce qui est dessiné sur le plan.
– Je ne crois pas plus que vous à la théorie de l'alien, dit alors Deborah. Mais les premières constatations semblent prouver cette dernière.
Elle sort de la salle de bain et se rend dans la chambre au lit double pour aller fouiller les vêtements de la victime…
Edward enlève la sécurité de son arme et accompagne Deborah dans la chambre.
– Y a des fringues sur le lit, lui dit-il.
Il l’aide à fouiller, en faisant particulièrement attention à ce qu’il n’y ait pas de bestiole planquée dans ses chaussures ou ailleurs…
– En tout cas, ajoute Deborah, apparemment, nous ne risquons pas grand chose à rester à l'abris. Si l'odeur de putréfaction qui va bientôt se lever, ne vous dérange pas. Pour ma part, je suis, ma foi trop curieuse, pour sortir d'ici sans avoir résolu cette énigme…
– Je ne sais pas pour vous, dit Edward, mais moi, je trouve l'identité de ce mec et je me casse.
Il se tourne vers Deb.
– Et toi, tu fais pareil, ma grande. Tu sais mieux que nous tous que plus on reste, plus on entrave l'enquête. On se barre - nuit, flotte ou pas -, et on prévient les collègues. Ce crime... Cette mort n'a rien d'ordinaire…
Il élève la voix pour que tout le monde entende bien.
– Non, les gars ! On n'est pas dans un film. Quoique soit la chose qui a fait ça, je ne tiens pas à la rencontrer. Je ne suis pas Ripley ! Je suis... Je vous rappelle que je suis flic. C'est justement pour ça que je vous demande de rentrer près de vos familles et de laisser mes collègues prendre la relève.
Il sort un bref instant sa tête de la chambre pour vous parler en vous regardant dans les yeux.
– La chose, la bête ou... le foutu alien lui a vidé les entrailles. C'est pas humain un truc comme ça. Ce pauvre type est tombé sur un animal pas commun. Je n'ose imaginer qu'un sadique ou un psychopathe humain ait pu faire ça. Quoique... on a déjà vu pire… Dans tous les cas, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige et qu'il fasse nuit, on trouve l'identité de ce gars, et on se casse d'ici. Ensuite, vous rentrez faire de gros câlins à vos femmes et Deb et moi on se rend chez les flics du coin.
Il retourne à sa fouille.
– On se magne. Car je ne tiens pas à ce que la chose revienne dans son garde-manger pour un nouvel encas.
Il jette un œil sur Deb implorant son approbation et lui chuchote quelque chose avant de déclarer avec énervement.
– Faisons vite, merde.
– Pour toi Deb', reprend Thomas, "ce n'est pas vraiment un meurtre" et tu "ne connais pas de parasites capables de faire ça"… Deb', je ne reprendrais pas ton allusion a Alien qui a fait mouche ! Je suis sur que l'on peut essayer d'analyser froidement et calmement la situation : il pleut, il fait nuit, on ne sait pas où on est, si on sort d'ici, on risque de se perdre, on risque de se retrouver face à face avec cet ennemi ou avec l'ours, on risque de ne pas pouvoir situer l'emplacement de ce bungalow demain, on risque de laisser cette scène être plus souillée qu'elle ne l'est… À mon avis, il faut rester ici, analyser le plus possible les choses avant de partir, au matin… Deb' et toi Ed', vous avez ce qu'il faut de connaissances pour collecter les faits, faire une première analyse… Je suis sûr que vous pouvez exclure certaines possibilités et éventuellement trouver son identité… Je suis sûr que vous pouvez émettre des hypothèses sur le type de danger auquel sera expose nos familles… Si tu souhaites qu'on réfléchisse tous ensemble sur les faits, tu peux compter sur moi… Si tu souhaites quitter les lieux Deb' je te suivrais... mais je pense que ce serait une erreur.
– Bon sang ! s'exclame Edward, la voix un peu crispée, la question n'est pas de réfléchir ou pas à ce qui est arrivé à ce type !
Il repose avec nervosité les fringues fouillées pour venir se poster devant lui.
– On ne peut pas se permettre de rester ici avec cette chose autour, Tom. C'est tout.
Ses yeux se plantent dans ceux de Thomas :
– C'est justement...
Il lui chuchote alors quelque chose.
Il baisse enfin les yeux, se passant une main sur le visage.
– Bordel, t'as vu l'état du gars. On ne peut pas rester ici. Je préfère affronter la pluie, la nuit, le froid, tout ce que tu voudras... Plutôt que ce machin, là, qui nous rentre on ne sait comment dans le bide… Sans compter que les pros doivent venir le plus vite possible, doivent donc être A-VER-TIS le-plus-vite-possible... Merde, Carl, sois raisonnable et mets-toi de mon côté. Explique-lui qu'on doit se barrer d'ici.
– Ne t'en fait pas Ed, déclare alors Deborah, à mon avis le parasite doit être mort ou loin actuellement. Vu qu'il n'y a rien dans ces lieux, nous aurons d'avantage de risque à sortir.
Puis, tout en réfléchissant, elle se tourne vers Carl et Thomas.
– Je penses avoir compris le but de cette sortie entre potes. Ce n'est pas très correct comme méthode…
Elle regarde alors à nouveau Edward.
– Je te promets d'étudier l'idée quant nous aurons résolu ce mystère, mais en attendant ne prends pas de risque inconsidéré à sortir par cet orage.
– Ed'....arrête de déconner, bougonne alors Thomas. Deb' est assez grande comme ça pour se défendre et si elle sait utiliser ce type de chose…
Puis, en se tournant vers elle, il lui tend discrètement quelque chose.
– Tiens Deb, prends ça.
Après un court instant, Thomas reprend à voix haute.
– Bon clairement, c'est pas un crime avec un vulgaire criminel. Et c'est pas un Alien de type Ridley. J'aimerais vraiment savoir a quel type de danger on doit s'attendre en restant ici ou en sortant. Si cela se trouve, c'est un crime ritualisé qui n'a pas été commis ici. Le bungalow est peut être juste le lieu de stockage temporaire du corps, en attendant que les ritualistes viennent le rechercher. T'en penses quoi Deb' de cette idée ? En tout cas, je compte sur toi Deb' et si tu as besoin d'aide, tu peux compter sur moi. Je m'en remets a toi pour décider si on reste ou si on part…
– J'ai beau tourner le problème dans tous les sens, intervient Carl, je me rend compte que…tout ce qu'on sait, c'est qu'on ne sait rien!
Devant le regard interrogatif de ses amis, il ajoute :
– Non, je suis pas devenu poète, je crois que c'est du Woody Allen, mais n'empêche que ça résume vachement bien notre situation.
Il s'assoit sur une chaise, et poursuit :
– La cabane ? On la connaissait pas ce matin. La victime ? Pareil. Et on la connaît pas mieux maintenant d'ailleurs… La chose qui a fait ça ? On sait rien sur elle. Elle est toujours en vie ? Elle a grossie ? Elle s'est transformée en papillon géant ? Elle est ici ? Ou déjà à l'autre bout du pays ?
Après un rapide regard vers deb, puis vers Tom, Edward souffle, comme un buffle hors d'haleine.
– Faites donc ce que bon vous semble les gars. Vous me saoulez. Vous voulez rester ? Restons. Mais vous ne pourrez pas dire que je ne vous aurais pas prévenu.
Carl se lève et se dirige soudainement vers la salle de bain, désignant la porte :
– Ce qui s'est passé là-dedans, on n'en sait foutre rien, et c'est pas notre boulot de connaître le pédigrée de la chose tueuse… Et même ce serait notre boulot, je vous rappelle qu'on est en vacances !
Il se dirige vers la porte d'entrée, pose la main sur la poignée :
– Enfin une parole sensée ! s’exclame Edward en toisant Thomas…
– Personnellement, j'ai pas envie de passer la nuit avec ce macchabée dans la pièce d'à côté, poursuit Carl… Et vous ?
– Je me tue à vous dire que non, répond Edward.
Puis il s'installe sur une chaise libre, surveillant la réaction de Deb.
– L'orage n'est rien à côté de ce qui c'est passé ici.
– Bon d'accord j'ai compris, on s'en va, conclut Deborah…
Alors que vous vous taisez, vous remarquez soudainement quelque chose… Le silence… On dirait que la pluie a cessé de tomber…
Que faites-vous donc finalement. Avez-vous bien refermé la fenêtre de la salle de bain ? Thomas sort-il pour aller vérifier d'où vient le courant ? Fouillez-vous les lieux plus en détails (mis à part la douche, les vêtements et sous les meubles, vous n’avez rien regardé) ? Bref cherchez-vous à en savoir plus ou à filer le plus vite possible ? Deborah prend-elle ce que lui tend Thomas ? Et qui tient quoi dans les mains ?
Il se tourne alors vers ses compagnons, les implorant du regard de ne pas paniquer et de rester unis.
– Vous allez peut-être me trouver naïf, ajoute-t-il, mais… je pensais à ces spectacles de magie qu'on a tous déjà vu, un mec vole, ou bien se fait transpercer, ou alors fait disparaître une voiture…
Devant l'air surpris de ses amis, il persiste :
– Ben oui, je suis sûr que, comme moi, vous vous êtes un jour surpris à penser : "Merde, je suis pas trop con, et pourtant j'arrive pas à envisager comment il combine son tour, le mec"… Ce que je veux dire par là, c'est que c'est pas parce qu'on ne pige pas le truc qu'il n'y en a pas. Et ici, c'est peut-être pareil, les apparences sont pas très reluisantes, mais peut-être y a-t-il une explication tout à fait rationnelle.
Puis il se tourne vers Deb :
– J'imagine que durant ta carrière, tu a dû en voir des vertes et des pas mûres, et qu'il y a des fois ou tu as été surprise en apprenant le fin-mot des raisons d'un décès, non ? Je veux dire, ce… mec… dans la salle de bain… est peut-être mort d'autre chose que d'un alien...
Il la fixe du regard, implorant un "Oui, tu as raison" du plus profond de son âme...
Thomas, lui ne peux s'empêcher de chercher à voir le cadavre. Edward, agacé, se dresse devant lui, le foudroyant du regard… mais finit par le laisser passer en soupirant.
– Mais ne touche à rien... dit-il d'un ton sec en sortant.
Thomas sort alors son smartphone et commence à mitrailler la scène : le corps, le sol autour, la fenêtre, les murs, le plafond.
– Deb et Ed', dit-il, je suis sur qu'avec votre expertise, vous pouvez déjà reconstituer les circonstances de sa mort ! Avec l'analyse de la position du corps, de ses membres, de la poussières autour, je suis sur que vous pouvez déterminer si il est tombé comme ça... si il s'est recroquevillé à cause de la douleur avant de s'allonger ainsi sur le sol... si il a été placé ici après sa mort… L'horreur qu'il semble exprimer est elle vraiment due à ce qu'il a vu ou est ce plutôt le résultat de la souffrance horrible qu'il a enduré ? D'ailleurs ses yeux sont ils ouverts ? Ses dents serrées, sa bouche et son contenu ne peuvent ils pas nous renseigner sur ce qui a été ingurgité, sur la souffrance endurée ? Les contours de la blessure doivent sûrement vous renseigner sur ce qui en est la cause ! Actions d'un couteau ? de dents ? d'une chose brûlante qui cautérise en même temps ? Le pourtour de la blessure ne vous indiquent pas si il y avait eu un mouvement sortant ou entrant dans le corps ? Des organes ont ils disparu ? C'est vraiment le corps d'un humain ? Si il y n'y a pas de sang ici et que la pièce ne semble pas trop dérangée, n'est ce pas la preuve que la mort elle même s'est déroulée ailleurs et qu'il a été placé ici après coup ? D'ailleurs...et si cette pièce était un garde mangé et que ce corps était comme un avocat dont on aurait commencé a manger le contenu avec une sorte de petite cuillère ?
- @Ysarius:
- Le cadavre est recroquevillé dans la douche. Pas besoin d’avoir fait de hautes études pour comprendre qu’il a dû déguster… Il est revêtu de son pyjama, mais le haut est remonté sur sa poitrine, laissant apparaître son ventre et un trou béant de plus de 20 cm de diamètre…
Petit jet d’effroi…
8… Réussi.
Malgré le dégoût, tu arrives à poursuivre ton travail d’observation et de photographie…
Le trou est parfaitement circulaire très bien découpé et il n’y a aucun organe à l’extérieur. Ça n’a donc pas explosé façon Alien… Il y a du sang séché dans la cabine de douche, par contre, mais pas de façon massive…
Petit jet de dé de Premiers Secours derrière le paravent du meneur de jeu…
Rien de plus…
Après avoir photographié en long, large et travers la scène du crime, Thomas s'en éloigne pour passer en revue l'ensemble des portes et fenêtres qui pourraient donner sur l'extérieur, s'assurant qu'aucune n'a été endommagée… Il constate, et tout le monde aussi, en le regardant faire, que toutes les fenêtres exceptées celle de la salle de bain (à moins que vous ne l’ayez refermée) sont bien closes et qu’aucune d’entre elles n’a été abîmée…
Thomas se dirige alors vers les plaques chauffantes pour vérifier qu'elles sont opérationnelles... C’est bien le cas. Le petit voyant rouge qui sert de témoin s’allume…
Il repart alors en quête de la source d'alimentation du bungalow… Mais, il ne trouve rien d’autre que ce qui est dessiné sur le plan.
– Je ne crois pas plus que vous à la théorie de l'alien, dit alors Deborah. Mais les premières constatations semblent prouver cette dernière.
Elle sort de la salle de bain et se rend dans la chambre au lit double pour aller fouiller les vêtements de la victime…
Edward enlève la sécurité de son arme et accompagne Deborah dans la chambre.
– Y a des fringues sur le lit, lui dit-il.
Il l’aide à fouiller, en faisant particulièrement attention à ce qu’il n’y ait pas de bestiole planquée dans ses chaussures ou ailleurs…
- @Edgar:
- Petit jet de perception derrière l’écran du meneur de jeu…
Non, tu ne perçois rien… Ouf !
– En tout cas, ajoute Deborah, apparemment, nous ne risquons pas grand chose à rester à l'abris. Si l'odeur de putréfaction qui va bientôt se lever, ne vous dérange pas. Pour ma part, je suis, ma foi trop curieuse, pour sortir d'ici sans avoir résolu cette énigme…
– Je ne sais pas pour vous, dit Edward, mais moi, je trouve l'identité de ce mec et je me casse.
Il se tourne vers Deb.
– Et toi, tu fais pareil, ma grande. Tu sais mieux que nous tous que plus on reste, plus on entrave l'enquête. On se barre - nuit, flotte ou pas -, et on prévient les collègues. Ce crime... Cette mort n'a rien d'ordinaire…
Il élève la voix pour que tout le monde entende bien.
– Non, les gars ! On n'est pas dans un film. Quoique soit la chose qui a fait ça, je ne tiens pas à la rencontrer. Je ne suis pas Ripley ! Je suis... Je vous rappelle que je suis flic. C'est justement pour ça que je vous demande de rentrer près de vos familles et de laisser mes collègues prendre la relève.
Il sort un bref instant sa tête de la chambre pour vous parler en vous regardant dans les yeux.
– La chose, la bête ou... le foutu alien lui a vidé les entrailles. C'est pas humain un truc comme ça. Ce pauvre type est tombé sur un animal pas commun. Je n'ose imaginer qu'un sadique ou un psychopathe humain ait pu faire ça. Quoique... on a déjà vu pire… Dans tous les cas, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige et qu'il fasse nuit, on trouve l'identité de ce gars, et on se casse d'ici. Ensuite, vous rentrez faire de gros câlins à vos femmes et Deb et moi on se rend chez les flics du coin.
Il retourne à sa fouille.
– On se magne. Car je ne tiens pas à ce que la chose revienne dans son garde-manger pour un nouvel encas.
Il jette un œil sur Deb implorant son approbation et lui chuchote quelque chose avant de déclarer avec énervement.
– Faisons vite, merde.
- @Poisseman et Edgar:
- En fouillant ses vêtements, qui sont sans style (un jean, des chaussures de marche assez neuves, un sweatshirt, un pull, une veste pour la pluie, un bob…) et plutôt prévu pour la randonnée, vous finissez par tomber sur une carte de presse de The Oregonian, un des journaux les plus célèbres de l’Oregon… Elle est au nom de James Howard Sangton…
Petit jet d’Intelligence derrière l’écran du meneur de jeu pour chacun d’entre vous…
Edward ne note rien de particulier.
- @Poisseman:
- La photo correspond tout à fait à la victime.
– Pour toi Deb', reprend Thomas, "ce n'est pas vraiment un meurtre" et tu "ne connais pas de parasites capables de faire ça"… Deb', je ne reprendrais pas ton allusion a Alien qui a fait mouche ! Je suis sur que l'on peut essayer d'analyser froidement et calmement la situation : il pleut, il fait nuit, on ne sait pas où on est, si on sort d'ici, on risque de se perdre, on risque de se retrouver face à face avec cet ennemi ou avec l'ours, on risque de ne pas pouvoir situer l'emplacement de ce bungalow demain, on risque de laisser cette scène être plus souillée qu'elle ne l'est… À mon avis, il faut rester ici, analyser le plus possible les choses avant de partir, au matin… Deb' et toi Ed', vous avez ce qu'il faut de connaissances pour collecter les faits, faire une première analyse… Je suis sûr que vous pouvez exclure certaines possibilités et éventuellement trouver son identité… Je suis sûr que vous pouvez émettre des hypothèses sur le type de danger auquel sera expose nos familles… Si tu souhaites qu'on réfléchisse tous ensemble sur les faits, tu peux compter sur moi… Si tu souhaites quitter les lieux Deb' je te suivrais... mais je pense que ce serait une erreur.
– Bon sang ! s'exclame Edward, la voix un peu crispée, la question n'est pas de réfléchir ou pas à ce qui est arrivé à ce type !
Il repose avec nervosité les fringues fouillées pour venir se poster devant lui.
– On ne peut pas se permettre de rester ici avec cette chose autour, Tom. C'est tout.
Ses yeux se plantent dans ceux de Thomas :
– C'est justement...
Il lui chuchote alors quelque chose.
Il baisse enfin les yeux, se passant une main sur le visage.
– Bordel, t'as vu l'état du gars. On ne peut pas rester ici. Je préfère affronter la pluie, la nuit, le froid, tout ce que tu voudras... Plutôt que ce machin, là, qui nous rentre on ne sait comment dans le bide… Sans compter que les pros doivent venir le plus vite possible, doivent donc être A-VER-TIS le-plus-vite-possible... Merde, Carl, sois raisonnable et mets-toi de mon côté. Explique-lui qu'on doit se barrer d'ici.
– Ne t'en fait pas Ed, déclare alors Deborah, à mon avis le parasite doit être mort ou loin actuellement. Vu qu'il n'y a rien dans ces lieux, nous aurons d'avantage de risque à sortir.
Puis, tout en réfléchissant, elle se tourne vers Carl et Thomas.
– Je penses avoir compris le but de cette sortie entre potes. Ce n'est pas très correct comme méthode…
Elle regarde alors à nouveau Edward.
– Je te promets d'étudier l'idée quant nous aurons résolu ce mystère, mais en attendant ne prends pas de risque inconsidéré à sortir par cet orage.
– Ed'....arrête de déconner, bougonne alors Thomas. Deb' est assez grande comme ça pour se défendre et si elle sait utiliser ce type de chose…
Puis, en se tournant vers elle, il lui tend discrètement quelque chose.
– Tiens Deb, prends ça.
Après un court instant, Thomas reprend à voix haute.
– Bon clairement, c'est pas un crime avec un vulgaire criminel. Et c'est pas un Alien de type Ridley. J'aimerais vraiment savoir a quel type de danger on doit s'attendre en restant ici ou en sortant. Si cela se trouve, c'est un crime ritualisé qui n'a pas été commis ici. Le bungalow est peut être juste le lieu de stockage temporaire du corps, en attendant que les ritualistes viennent le rechercher. T'en penses quoi Deb' de cette idée ? En tout cas, je compte sur toi Deb' et si tu as besoin d'aide, tu peux compter sur moi. Je m'en remets a toi pour décider si on reste ou si on part…
– J'ai beau tourner le problème dans tous les sens, intervient Carl, je me rend compte que…tout ce qu'on sait, c'est qu'on ne sait rien!
Devant le regard interrogatif de ses amis, il ajoute :
– Non, je suis pas devenu poète, je crois que c'est du Woody Allen, mais n'empêche que ça résume vachement bien notre situation.
Il s'assoit sur une chaise, et poursuit :
– La cabane ? On la connaissait pas ce matin. La victime ? Pareil. Et on la connaît pas mieux maintenant d'ailleurs… La chose qui a fait ça ? On sait rien sur elle. Elle est toujours en vie ? Elle a grossie ? Elle s'est transformée en papillon géant ? Elle est ici ? Ou déjà à l'autre bout du pays ?
Après un rapide regard vers deb, puis vers Tom, Edward souffle, comme un buffle hors d'haleine.
– Faites donc ce que bon vous semble les gars. Vous me saoulez. Vous voulez rester ? Restons. Mais vous ne pourrez pas dire que je ne vous aurais pas prévenu.
Carl se lève et se dirige soudainement vers la salle de bain, désignant la porte :
– Ce qui s'est passé là-dedans, on n'en sait foutre rien, et c'est pas notre boulot de connaître le pédigrée de la chose tueuse… Et même ce serait notre boulot, je vous rappelle qu'on est en vacances !
Il se dirige vers la porte d'entrée, pose la main sur la poignée :
– Enfin une parole sensée ! s’exclame Edward en toisant Thomas…
– Personnellement, j'ai pas envie de passer la nuit avec ce macchabée dans la pièce d'à côté, poursuit Carl… Et vous ?
– Je me tue à vous dire que non, répond Edward.
Puis il s'installe sur une chaise libre, surveillant la réaction de Deb.
– L'orage n'est rien à côté de ce qui c'est passé ici.
– Bon d'accord j'ai compris, on s'en va, conclut Deborah…
Alors que vous vous taisez, vous remarquez soudainement quelque chose… Le silence… On dirait que la pluie a cessé de tomber…
Que faites-vous donc finalement. Avez-vous bien refermé la fenêtre de la salle de bain ? Thomas sort-il pour aller vérifier d'où vient le courant ? Fouillez-vous les lieux plus en détails (mis à part la douche, les vêtements et sous les meubles, vous n’avez rien regardé) ? Bref cherchez-vous à en savoir plus ou à filer le plus vite possible ? Deborah prend-elle ce que lui tend Thomas ? Et qui tient quoi dans les mains ?
- @Karloff:
- Parles-tu à tes amis de ce que tu as trouvé sur le bureau de la pièce principale : les notes, l'agenda, l'appareil photo et les clichés flous ?
Gollum- Messages : 1261
Date d'inscription : 12/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Les derniers mots de Deb' sonnent comme un couperet.
Le courant qui semble alimenter le bungalow, sans que l'on sache d'où cela vient, est le cadet de mes soucis.
Si on retrouve nos familles vivantes dans des délais raisonnables et si la scène de crime a disparue demain, je me dis qu'au moins il restera une preuve : les photos sur mon smartphone.
Je me renfrogne et j'attends la suite des évènements en observant les actions de Deb'
Le courant qui semble alimenter le bungalow, sans que l'on sache d'où cela vient, est le cadet de mes soucis.
Si on retrouve nos familles vivantes dans des délais raisonnables et si la scène de crime a disparue demain, je me dis qu'au moins il restera une preuve : les photos sur mon smartphone.
Je me renfrogne et j'attends la suite des évènements en observant les actions de Deb'
Ysarius- Messages : 569
Date d'inscription : 12/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Je ne prends pas l'arme tendue par Thomas, range les papiers d'identité de la victime à leur place, puis me dirige vers la porte d'entrée où nous attendent déjà Ed et Carl
Poisseman- Messages : 165
Date d'inscription : 21/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
J'attend, la main toujours sur la poignée de la porte, pour voir si tout le monde est prêt à sortir; il ne s'agirait pas de faire 2 groupe de 2, ou 4 groupes de 1... , on n'est pas dans un film d'horreur!
- GOLLUM:
- N'ayant rien trouvé de probant sur la table, je le garde pour moi
Karloff- Messages : 93
Date d'inscription : 24/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Je ne peux retenir un tout petit soupir de soulagement en voyant Deb se préparer à sortir. Je me lève aussitôt.
— Bien. dis-je en la rejoignant près de la porte. Allez, Tom, on se casse. On retrouve vos femmes et on prévient les flics. Par contre, ferme bien la fenêtre de la salle de bain. J’ose un petit sourire en coin. Faudrait pas que ce gars se barre dans cet état.
Je brandis soudain une carte que je tripotais machinalement depuis quelques instants.
— Avec Deb, on a trouvé ça dans ses fringues.
Je toise Deb, lui faisant une moue entendue.
— Désolé, je pense qu’on en aura besoin. Et... les collègues vont déjà avoir assez de boulot pour trouver ce qui a fait ça, c’est sûr ! Autant leur faciliter la tâche pour l'identification. Une fois en ville, tu pourras commencer à vraiment les aider avec tes réelles compétences.
Je me tourne vers les autres en leur présentant une carte de presse.
— Il semble que ce pauvre gars était journaliste. Il travaillait pour The Oregonian. C’est un certain... J’approche la carte de mes yeux. James Howard Sangton. Enfin... c’était. D'après ses vêtements, il pouvait tout aussi bien être là pour la promenade que pour un... Je hausse les épaules. Pour un boulot ou un autre. On verra bien. Je resterai proche des collègues. Promis, je vous dirai ce qu'il en est.
Après que chacun ait pu y jeter un œil, je range la carte dans la poche de mon jean. Puis, du regard, j’encourage Carl à ouvrir la porte tout en vérifiant mon arme avec précaution. Prête à servir, mais en sécurité.
— Allons-y. Si la chose est ici, qu’elle y reste. Si elle est dehors... Je brandis mon flingue. Ben, j’lui conseille pas de s’approcher de nous.
— Bien. dis-je en la rejoignant près de la porte. Allez, Tom, on se casse. On retrouve vos femmes et on prévient les flics. Par contre, ferme bien la fenêtre de la salle de bain. J’ose un petit sourire en coin. Faudrait pas que ce gars se barre dans cet état.
Je brandis soudain une carte que je tripotais machinalement depuis quelques instants.
— Avec Deb, on a trouvé ça dans ses fringues.
Je toise Deb, lui faisant une moue entendue.
— Désolé, je pense qu’on en aura besoin. Et... les collègues vont déjà avoir assez de boulot pour trouver ce qui a fait ça, c’est sûr ! Autant leur faciliter la tâche pour l'identification. Une fois en ville, tu pourras commencer à vraiment les aider avec tes réelles compétences.
Je me tourne vers les autres en leur présentant une carte de presse.
— Il semble que ce pauvre gars était journaliste. Il travaillait pour The Oregonian. C’est un certain... J’approche la carte de mes yeux. James Howard Sangton. Enfin... c’était. D'après ses vêtements, il pouvait tout aussi bien être là pour la promenade que pour un... Je hausse les épaules. Pour un boulot ou un autre. On verra bien. Je resterai proche des collègues. Promis, je vous dirai ce qu'il en est.
Après que chacun ait pu y jeter un œil, je range la carte dans la poche de mon jean. Puis, du regard, j’encourage Carl à ouvrir la porte tout en vérifiant mon arme avec précaution. Prête à servir, mais en sécurité.
— Allons-y. Si la chose est ici, qu’elle y reste. Si elle est dehors... Je brandis mon flingue. Ben, j’lui conseille pas de s’approcher de nous.
Edgar Grolles- Messages : 84
Date d'inscription : 13/10/2018
Age : 55
Localisation : Chatou
Re: PREMIER SCENARIO
Jet de Perception pour chacun d'entre vous derrière l'écran du meneur de jeu...
Tandis que vous êtes tous réunis dans la salle principale, enfin d'accord pour quitter les lieux, et juste au moment où Carl s'apprête à actionner la poignée, vous entendez un drôle de bruit sourd qui s'approche... On dirait un bourdonnement... Un gros bourdonnement...
Quelque chose cogne alors la paroi du bungalow, du côté de la salle de bain...
Puis le bourdonnement cesse...
Reprend pendant un bref instant...
Et cesse à nouveau...
Le silence reprend alors le dessus...
Que faites-vous ?
Tandis que vous êtes tous réunis dans la salle principale, enfin d'accord pour quitter les lieux, et juste au moment où Carl s'apprête à actionner la poignée, vous entendez un drôle de bruit sourd qui s'approche... On dirait un bourdonnement... Un gros bourdonnement...
Quelque chose cogne alors la paroi du bungalow, du côté de la salle de bain...
Puis le bourdonnement cesse...
Reprend pendant un bref instant...
Et cesse à nouveau...
Le silence reprend alors le dessus...
Que faites-vous ?
Gollum- Messages : 1261
Date d'inscription : 12/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Quelque chose cogne alors la paroi du bungalow, du côté de la salle de bain !
Sursaut ! Le bras portant mon flingue se recroqueville contre moi presque machinalement. Mon sang ne fait qu’un tour, un souffle s’échappe de mes lèvres...
— Bordel !
Puis le bourdonnement cesse...
Mes doigts enserrant l’objet qui fut l’instrument de tant de bouleversement dans ma vie, je fixe la maudite porte, effectuant un pas hésitant dans sa direction. Juste un pas, timide et maladroit.
Le bruit reprend pendant un bref instant...
Et cesse à nouveau...
Le silence prend alors le dessus...
Merde ! Merde et merde et merde et merde et merde de merde de merde à la con ! La bestiole... la bestiole est toujours là...
Sans dire un mot, je prends mon révolver à deux mains et viens me placer derrière la porte de la salle de bain. Avant tout, je vérifie qu’elle est bien fermée, hermétiquement close. Rien ni personne ne doit en sortir. J'essaie de contrôler mon souffle qui, malgré toutes mes expériences passées sur le terrain, essaie de se faire la malle.
Aucun doute, je transpire.
De la main, j’indique aux autres de ne pas bouger. Puis je plaque mon oreille contre la paroi de la porte. J’écoute, vigilant. Y aurait-il quelque chose à l’intérieur qu’on n’ait donc pas vu ?
Edgar Grolles- Messages : 84
Date d'inscription : 13/10/2018
Age : 55
Localisation : Chatou
Re: PREMIER SCENARIO
Toujours la main sur la poignée, je pense à ce bourdonnement, et ne peut m'empêcher de m'imaginer un gros bourdon un peu pataud, qui se cogne aux vitres encore et encore, en se disant "la prochaine fois, ça passe!". C'est peut-être cette image qui m'empêche de m'écrouler de peur, moi qui avait laissé galopé jusqu'alors mon imagination dans les coursives du Nostromo. Un monstre qui sort de chez Maya l'abeille, ça fait nettement moins peur!
Bon, les amis, j'y vais tout doux, ne vous affolez pas, suis pas suicidaire, et je referme aussitôt si nécessaire.
J'accompagne le geste à la parole, entrouvrant légèrement la porte d'entrée, juste de quoi glisser un œil dehors, et voir le long de la paroi, en direction de la salle de bain, ce qui bourdonne ainsi. Au moindre clignement d'œil de ce qui serait plus gros qu'un papillon, je claque la porte.
PS: je remet ici le plan, afin de ne pas avoir à le chercher partout...
Karloff- Messages : 93
Date d'inscription : 24/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Est-ce que Deborah ou Thomas essaient d'empêcher Carl d'ouvrir la porte pour regarder ce qu'il y a dehors ?
Et s'ils ne font aucune action particulière, où se placent-ils (Carl est forcément juste à côté de la porte tandis qu'Edward est contre celle de la salle de bain - si je ne m'abuse - mais qu'en est-il de Deborah et de Thomas... Et que tiennent-ils dans leur main - Thomas a-t-il son arme prête à tirer, puisque Deborah a refusé de la prendre) ?
Et s'ils ne font aucune action particulière, où se placent-ils (Carl est forcément juste à côté de la porte tandis qu'Edward est contre celle de la salle de bain - si je ne m'abuse - mais qu'en est-il de Deborah et de Thomas... Et que tiennent-ils dans leur main - Thomas a-t-il son arme prête à tirer, puisque Deborah a refusé de la prendre) ?
Gollum- Messages : 1261
Date d'inscription : 12/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Etant près de la porte d'entrée, mon attention a été attirée par le bourdonnement et par l'interjection d'Ed.
Apres le refus de l'arme par Deb', et considérant que nous sommes sur une scène de crime ou toutes actions pourraient altérer les preuves, je range mon arme et attends.
Je fais quelques pas de coté de manière a me rapprocher des toilettes, me tenant prêt a ouvrir la fenêtre puis les volets.
Apres le refus de l'arme par Deb', et considérant que nous sommes sur une scène de crime ou toutes actions pourraient altérer les preuves, je range mon arme et attends.
Je fais quelques pas de coté de manière a me rapprocher des toilettes, me tenant prêt a ouvrir la fenêtre puis les volets.
Ysarius- Messages : 569
Date d'inscription : 12/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
En entendant le bourdonnement venant de dehors, je sursaute, puis je vois Carl se diriger vers la porte et lui dis juste
"Sois prudent !"
Puis je me dirige vers la chambre à deux lits et ferme la porte derrière moi, restant néanmoins attentive au moindre son
"Sois prudent !"
Puis je me dirige vers la chambre à deux lits et ferme la porte derrière moi, restant néanmoins attentive au moindre son
Poisseman- Messages : 165
Date d'inscription : 21/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Un court instant, je ferme les yeux.
La chose est dehors... dehors.
J’ai bien conscience des autres, de leurs mouvements, de leur présence dans la pièce, mais la vision du corps éventré ne cesse de me harceler.
Doucement, tout doucement, je pose ma main gauche sur la poignée de la porte, renforçant encore ma poigne sur la crosse de mon arme de l’autre.
Je vais ouvrir et me retrouver nez à nez avec cette chose. Elle sera entrée, je ne sais comment, mais elle sera entrée, j’en suis sûr.
Je jette juste un oeil sur mes camarades, rapide, fugace, puis j’ouvre la porte en pointant mon arme en avant, prêt à faire feu.
Edgar Grolles- Messages : 84
Date d'inscription : 13/10/2018
Age : 55
Localisation : Chatou
Re: PREMIER SCENARIO
Comme je ne serai pas disponible ce week-end et que vous avez tous répondu... Je vous écris la suite... Le suspense, ça a du bon, mais faut pas non plus vous laisser angoisser pendant deux jours d’affilée...
— Bordel ! s’écrie Edward, avant de se rapprocher de la porte de la salle de bain, qui est fermée bien hermétiquement et, son arme serrée dans les mains, d’y coller son oreille…
Il fait signe à ses amis de ne pas bouger mais, visiblement, ceux-ci n’en tiennent pas compte.
— Bon, les amis, j'y vais tout doux, dit Carl. Ne vous affolez pas, j’suis pas suicidaire, et je referme aussitôt si nécessaire.
Il commence à tourner la poignée.
Thomas s’éloigne alors de la porte d’entrée pour se rapprocher des toilettes, prêt à y bondir le cas échéant.
Deborah, elle, court s’enfermer dans la chambre à double lit en disant :
— Sois prudent.
C’est alors qu’Edward décide d'ouvrir lui aussi la porte de la salle de bain… Il le fait lentement de la main gauche, continuant de tenir fermement son arme de la main droite…
— Bordel ! s’écrie Edward, avant de se rapprocher de la porte de la salle de bain, qui est fermée bien hermétiquement et, son arme serrée dans les mains, d’y coller son oreille…
- @Edgar:
- Petit jet de Perception derrière l’écran du meneur de jeu…
Tu n’entends rien de particulier dans cette pièce…
Il fait signe à ses amis de ne pas bouger mais, visiblement, ceux-ci n’en tiennent pas compte.
— Bon, les amis, j'y vais tout doux, dit Carl. Ne vous affolez pas, j’suis pas suicidaire, et je referme aussitôt si nécessaire.
Il commence à tourner la poignée.
Thomas s’éloigne alors de la porte d’entrée pour se rapprocher des toilettes, prêt à y bondir le cas échéant.
Deborah, elle, court s’enfermer dans la chambre à double lit en disant :
— Sois prudent.
C’est alors qu’Edward décide d'ouvrir lui aussi la porte de la salle de bain… Il le fait lentement de la main gauche, continuant de tenir fermement son arme de la main droite…
- @Karloff:
- Tu entrouvres prudemment la porte d’entrée...
Petit jet de Perception derrière l'écran du meneur de jeu...
Et là, sur le mur, juste à côté de la fenêtre de la salle de bain, tu aperçois une guêpe… Énorme… De plus d’un mètre de longueur et avec un corps beaucoup plus effilé que les guêpes ordinaires.
Petit jet d’effroi (sous la Volonté).
5… Ouf ! Tu arrives à te maîtriser. Et c’est tant mieux parce que l’immonde créature te repère aussitôt et se précipite vers toi en courant sur le mur !
Tu as le temps de refermer la porte si tu le souhaites…
- @Edgar:
- Petit jet de Perception derrière l’écran du meneur de jeu…
À peine la porte est-elle entrouverte que tu aperçois, sur la fenêtre de la salle de bain fort heureusement refermée, la tête d'une guêpe… énorme… au moins aussi grosse que celle d'un homme… Elle cherchait à rentrer, tapotant la vitre de ses immondes mandibules mais, juste au moment où Carl ouvre la porte, elle disparaît de ton champ de vision…
Jet d’effroi…
14… Raté de 2…
Lancer de 2d6 (j’utilise la version Lite des règles d’effroi).
7, plus la marge d’échec (2), ce qui fait 9.
Tu es complètement terrifié parce que tu viens de voir, incapable de dire quoi que ce soit ou de bouger pendant 9 secondes… Je te laisse dépeindre ton état à tes camarades (je sais que tu le feras bien mieux que moi).
Gollum- Messages : 1261
Date d'inscription : 12/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
J’ouvre la porte et plonge tout l’avant de mon corps à l’intérieur de la pièce, flingue en avant, ultime bouclier entre moi et l’inconnu. Je contrôle tout, ma respiration, mes gestes, ma posture...
J’entre et me fige...
L’instant semble se prolonger. Sans voix, je recule d’un pas, mes jambes paraissant tétanisées. Mon dos heurte la porte restée entrouverte derrière moi. Mes mains ne lâchent pas mon arme. Je serre mes doigts sur la crosse, luttant avec mon esprit sur un dilemme bien connu... tirer, ne pas tirer ?
- Gollum:
- Je veux crier ! Bien sûr, je veux crier... CARL ! TOM ! Nooon ! N’OUVREZ PAS CETTE PUTAIN DE PORTE !
Mais aucun son ne sort. Ma voix reste figée à l’intérieur de ma gorge. Ma salive s’assèche en un instant et mes jambes peinent à me porter. Mais ma poigne, elle, reste ferme. Le danger est un compagnon de longue date, et si mes adversaires n’ont habituellement pas d’antennes ni d’ailes, ils n’en sont pas moins effrayants pour autant.
Mes pensées s’entrechoquent dans ma tête. Durant neuf secondes qui me paraissent des heures, mon esprit fait le programme de celles qui suivent...
Je lutte pour hurler aux autres ce que je viens de voir, lutte pour me retourner et plonger vers mes compagnons. Dès que je retrouve mes esprits, je me rue sur la porte d’entrée pour la refermer, flingue en avant, visant la moindre saloperie volante que verrai. Je fais rentrer de force quiconque serait à l’extérieur et barricade aussitôt le chalet, en hurlant à haute voix ce que je viens de voir.
Edgar Grolles- Messages : 84
Date d'inscription : 13/10/2018
Age : 55
Localisation : Chatou
Re: PREMIER SCENARIO
Constatant la fixité d'Ed' (et ne lisant pas ses pensees, qui doivent etre nombreuses si l'on en croit le faible nombre de ses paroles), j'ouvre la fenetre rapidement, marque un temps de pause pour ecouter si j'entends des bruits juste derriere les volets
- @Gollum:
et ouvre les volets de la main gauche, l'arme a la main, prets a tirer sur ce qui pourrait surgir brusquement.
Le volet ouvert, j'observe la situation : pluie, mouvements, bruits qui approchent.
Si tout semble calme, j'enjambe la fenetre pour sortir et me rapprocher, discretement de l'angle qui me permettra de voir la porte de la maison et la fenetre de la salle de bain. Je tirerais sur tout ce qui peut etre menacant : ours, E.T gris, humain avec tronçonneuse).
Ysarius- Messages : 569
Date d'inscription : 12/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
A peine ouverte, je claque aussitôt la porte! Je regarde autour de moi, et la première pensée qui me vient, c'est que personne ne me croira…
Mes yeux tombent alors sur l'évier de la cuisine, et une idée germe dans mon esprit…
Mes yeux tombent alors sur l'évier de la cuisine, et une idée germe dans mon esprit…
- GOLLUM:
- Je me rue vers la "cuisine", et fouille les placards à la recherche d'une bombe insecticide ou, à défaut, de vinaigre...
Karloff- Messages : 93
Date d'inscription : 24/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Pour ma part je demeure attentive au moindre bruit, me pensant en sécurité, enfermée dans la chambre
Poisseman- Messages : 165
Date d'inscription : 21/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Tandis qu’Edward semble complètement figé, Carl claque la porte d’entrée pour la refermer le plus vite possible et se précipite vers les tiroirs de la kitchenette équipée, ouvrant frénétiquement les placards…
Pendant ce temps, Thomas bondit dans les toilettes et en ouvre vivement la fenêtre.
Deborah, elle, ne bouge pas de la chambre dans laquelle elle s’est enfermée.
Jet secret derrière l’écran du meneur de jeu…
Que faites-vous ?
- @Karloff:
- Petit jet de Perception derrière l’écran du meneur de jeu…
Tu trouves sans la moindre difficulté une bombe d’insecticide et une bouteille de vinaigre, même si les deux te semble bien ridicules par rapport à la taille de la guêpe que tu viens de voir… Sa tête était au moins aussi grosse que la tienne…
Pendant ce temps, Thomas bondit dans les toilettes et en ouvre vivement la fenêtre.
- @Ysarius:
- Petit jet de Perception derrière l’écran du meneur de jeu…
Tu n’entends ni ne vois rien de particulier. Il ne pleut plus. La voie semble dégagée…
Deborah, elle, ne bouge pas de la chambre dans laquelle elle s’est enfermée.
- @Poisseman:
- Petit jet de Perception derrière l’écran du meneur de jeu…
Tu entends les pas de tes amis et du remue ménage avec les placards : l’un d’eux est visiblement en train d’y chercher frénétiquement quelque chose…
Jet secret derrière l’écran du meneur de jeu…
Que faites-vous ?
- @Edgar:
- Tu peux à nouveau bouger et parler...
- @Ysarius:
- Sautes-tu par la fenêtre comme tu l'avais prévu ? Elle fait environ 50 cm de large ; ça ne va pas être facile de le faire discrètement...
Gollum- Messages : 1261
Date d'inscription : 12/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Des bruits continuent de se faire entendre dans les toilettes avant le retour a un certain calme.
- @Gollum:
Je croyais la fenetre et les volets fermes d'ou ma decomposition en deux temps mais si ce n'est pas le cas, je maintiens les actions decrites ci dessus :
Si après le volet ouvert et observé la situation (pluie, mouvements, bruits qui approchent) tout semble calme dehors devant moi, j'enjambe la fenetre pour sortir et me rapprocher, discretement de l'angle qui me permettra de voir la porte de la maison et la fenetre de la salle de bain.
Je tirerais en essayant de prendre le temps de viser (si les circonstances me le permettent) sur tout ce qui peut etre menacant : ours, E.T gris, humain avec tronçonneuse.
Dernière édition par Ysarius le Ven 1 Fév 2019 - 23:17, édité 2 fois
Ysarius- Messages : 569
Date d'inscription : 12/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
J'attends avec patience que mes amis me rejoignent, me sentant un peu seule.
"Est ce que tout va bien les gars ?"
Leur demandais je en criant, prête à ressortir de ma cachette si un seul me répond par la négative
"Est ce que tout va bien les gars ?"
Leur demandais je en criant, prête à ressortir de ma cachette si un seul me répond par la négative
Poisseman- Messages : 165
Date d'inscription : 21/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Je me dirige vers Ed et la salle d'eau, avec dans les mains ce que j'ai déniché sous l'évier. Je me dis que, même si ce n'est pas léthal, ça ne fera pas du bien à la bestiole!
Arrivé à la hauteur de Ed, je jette un œil dans la salle d'eau pour voir ce qui le met dans cet état. Serait-ce une congénère de ce que j'ai vu à l'extérieur?
Arrivé à la hauteur de Ed, je jette un œil dans la salle d'eau pour voir ce qui le met dans cet état. Serait-ce une congénère de ce que j'ai vu à l'extérieur?
Karloff- Messages : 93
Date d'inscription : 24/10/2018
Re: PREMIER SCENARIO
Le dos raide, toujours figé contre la porte de la salle de bain, je sursaute à l’arrivée de Carl !
Je me retourne d’un seul mouvement, brandissant mon arme face à lui, les yeux exorbités et le souffle court. Après une seconde qui semble durer des heures où mon regard transperce celui de mon ami, je relève mon arme et l’écarte de mon passage pour diriger toute mon attention sur la porte d’entrée.
— FERMEZ... Fermez cette put...
J’interromps ma course et mes hurlements au moment même où je réalise qu’elle l'est... fermée. Soudain, je cherche Deb, tournant la tête en tout sens. Dès que j’entends sa voix, dans la chambre, demandant de nos nouvelles, je m’accroupis immédiatement, soufflant enfin de soulagement.
— ÇA VA, Deb ! Ça va... Surtout, reste où tu es, ne bouge pas. FERME... Ferme la fenêtre, les rideaux aussi, et ne reste pas près d’elle.
Je me relève et me tourne vers tout le monde en cherchant du regard toute issue qu’on aurait pu oublier !
— CARL ! TOM ! Fermez toutes les fenêtres, le moindre trou, la moindre fissure qu’il pourrait y avoir. UNE... Je déglutis, tout en me jetant moi-même sur toutes les issues afin de vérifier qu’aucune d’elle ne soit seulement entrebâillée. UNE IMMENSE GUÊPE... Je bouge sans m’arrêter, chaque geste appelant le suivant, ne ménageant aucun effort tant que je ne serai pas certain que notre abri est totalement clos. J’ai vu, dehors, une sorte d’abeille géante, une... guêpe ou un truc dans le genre, de la taille d’un... d’un...
Je stoppe mes mouvements l’espace d’un instant pour écarter les mains devant moi.
— De la taille d’un... Je n’ai vu que la tête, ses mandibules... Elle était énorme, au moins de la taille d’un homme.
Je me dirige vers la chambre, afin de vérifier moi-même la fenêtre. Au passage, je gratifie Deb d’un regard que j’essaie d’apaiser.
— Deb... désolé de... Je vais aussitôt à la fenêtre, la ferme, et tire les rideaux si ce n'est déjà fait. Je... Approche-toi le moins possible des fenêtres, s’il te plait. Ce qui traine dehors est... EXTRAORDINAIRE. Ça dépasse tout ce qu’on a pu voir jusqu’ici.
Edgar Grolles- Messages : 84
Date d'inscription : 13/10/2018
Age : 55
Localisation : Chatou
Re: PREMIER SCENARIO
Vous entendez des bruits dans les toilettes…
Carl se précipite alors vers la salle de bain avec une bombe d’insecticide dans une main et une bouteille de vinaigre dans l’autre. Il y jette rapidement un coup d’œil…
Edward, qui avait le regard fixé sur la fenêtre, comme s’il était hypnotisé, sursaute alors, braquant son arme sur lui… Puis il se reprend, baisse son fingue, et se précipite vers la porte d’entrée.
– FERMEZ... Fermez cette put...
Constatant qu’elle est déjà fermée, il tourne la tête dans tous les sens…
– Est ce que tout va bien les gars ? demande alors Deborah depuis la chambre ou elle reste bien à l’abri…
J’interrompt là ce que vous avez décrit (surtout Edgar), parce qu’étant donné les événements nouveaux, vous allez peut-être changer d’avis quant à vos actions suivantes.
Que faites-vous donc ?
- @Ysarius:
- Tout est toujours parfaitement dégagé devant toi et tu décides donc de passer par la fenêtre…
Comme je te l’avais dit, ce n’est pas une action automatique car celle-ci est assez petite (une cinquantaine de centimètres de côté).
Jet d’Escalade, heureusement très facile (ce n’est quand même pas une falaise)… Tu n’as pas la compétence. On utilise donc le niveau par défaut (Dextérité – 5) + 6 (parce que c’est très facile), ce qui te fait 11.
14…
Tu commences à te hisser sur les toilettes, t’accrocher à la fenêtre, et là tu t’aperçois que ça va être plus difficile que prévu. Il va falloir te contorsionner et éviter de te faire mal en glissant sur le mur trempé lorsque tu redescendras de l’autre côté, ce qui ajoute à ton hésitation…
Deux jets de dés consécutifs derrière l’écran du meneur de jeu…
Tandis que tu hésites encore, tu vois une guêpe se précipiter vers toi. Une guêpe énorme ! Elle fait à peu près ta taille, avec un corps particulièrement effilé, et elle court sur le mur dans ta direction !
Jet d’effroi (tu as 13 en volonté) !
12.
Malgré la peur qui te saisit et ton cœur qui se met soudainement à battre la chamade, tu peux réagir comme tu le souhaites…
Carl se précipite alors vers la salle de bain avec une bombe d’insecticide dans une main et une bouteille de vinaigre dans l’autre. Il y jette rapidement un coup d’œil…
- @Karloff:
- Il n’y a rien… Rien de plus que le cadavre qui est toujours dans la douche.
Edward, qui avait le regard fixé sur la fenêtre, comme s’il était hypnotisé, sursaute alors, braquant son arme sur lui… Puis il se reprend, baisse son fingue, et se précipite vers la porte d’entrée.
– FERMEZ... Fermez cette put...
Constatant qu’elle est déjà fermée, il tourne la tête dans tous les sens…
- @Edgar:
- Petit jet de Perception derrière l’écran du meneur de jeu…
Putain !
Thomas à ouvert en grand la fenêtre des toilettes et est grimpé sur les waters, avec l’intention évidente de sortir par là !
– Est ce que tout va bien les gars ? demande alors Deborah depuis la chambre ou elle reste bien à l’abri…
J’interrompt là ce que vous avez décrit (surtout Edgar), parce qu’étant donné les événements nouveaux, vous allez peut-être changer d’avis quant à vos actions suivantes.
Que faites-vous donc ?
Gollum- Messages : 1261
Date d'inscription : 12/10/2018
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